![]() ![]() Llama menos la atención la tasa de 94.2% de episiotomı́as en mujeres que tienen un parto vaginal, afectando a un 70% de las mujeres pobres que usan más el sector público. Brasil es conocido por sus altas tasas de cesáreas innecesarias, practicadas en dos tercios de los partos en el sector privado, donde dan a luz 30% de las mujeres. Este artı́culo describe el impacto del modelo intervencionista sobre la experiencia de parto de las mujeres, y muestra como la organización de servicios de maternidad públicos y privados en Brasil impacta la calidad de la atención obstétrica. Si bien se ha mostrado que la menor interferencia que sea compatible con la seguridad es el paradigma a seguir, en Brasil todavı́a se trata el parto vaginal como si presentara un alto riesgo para la salud y vida sexual de las mujeres. Depuis 1993, inspiré par des campagnes contre la mutilation sexuelle féminine, un mouvement national de prestataires de services, de féministes et de groupes de consommateurs préconise des soins fondés sur les recherches disponibles et l'humanisation de l'accouchement au Brésil, pour réduire les procédures chirurgicales inutiles.Įn los últimos 50 años, un aumento rápido en el uso de la tecnologı́a para iniciar, aumentar, acelerar, regular y vigilar el proceso de parto llevó a menudo a la adopción de intervenciones inadecuadas, innecesarias y a veces peligrosas. Un changement dans la manière dont le corps des femmes est compris devra précéder tout changement des procédures elles-mêmes. ![]() Le taux de 94,2% d'épisiotomie chez les femmes qui accouchent par voie vaginale, touchant 70% des femmes pauvres qui utilisent principalement le secteur public, reçoit moins d'attention. Le Brésil est connu pour ses taux élevés de césariennes pratiquées sur plus des deux tiers des naissances dans le secteur privé, où 30% des femmes accouchent. Cet article décrit l'impact du modèle d'intervention sur l'expérience qu'ont les femmes de l'accouchement et montre comment l'organisation des services publics et privés de maternité influence la qualité des soins obstétriques au Brésil. Bien que la recherche ait montré que le moins d'interférence compatible avec la sécurité était le principe à suivre, au Brésil, l'accouchement par voie vaginale est encore traité comme s'il comportait un risque élevé pour la santé et la vie sexuelle des femmes. Since 1993, inspired by campaigns against female genital mutilation, a national movement of providers, feminists and consumer groups has been promoting evidence-based care and humanisation of childbirth in Brazil, to reduce unnecessary surgical procedures.Ĭes 50 dernières années, l'accroissement rapide de l'utilisation de la technologie pour déclencher, accélérer, réguler et surveiller l'accouchement a souvent abouti à des interventions erronées, inutiles et parfois dangereuses. A change in the understanding of women's bodies is required before a change in the procedures themselves can be expected. The 94.2% rate of episiotomy (“the cut below”) in women who give birth vaginally, affecting the 70% of poor women using the public sector most, receives less attention. Brazil is known for high rates of unnecessary caesarean section (“the cut above”), performed in over two-thirds of births in the private sector, where 30% of women give birth. This paper describes the impact of the intervention model on women's birth experience, and discusses how the organisation of public and private maternity services in Brazil influences the quality of obstetric care. Although research has shown that the least amount of interference compatible with safety is the paradigm to follow, vaginal birth is still being treated as if it carries a high risk to women's health and sexual life in Brazil. In the last 50 years, a rapid increase in the use of technology to start, augment, accelerate, regulate and monitor the process of birth has frequently led to the adoption of inadequate, unnecessary and sometimes dangerous interventions. ![]()
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